samedi 14 décembre 2013

Paramètre du surf gratuit pour MTN Cameroun Décembre 2013



A TOUT SEIGNEUR TOUT HONNEUR, CECI EST LE TRAVAIL DE RECHERCHE DE 
 Osc@r TCHOFFO SOCPA a.k.a Le Potter

***CONDITIONS A REMPLIR***
Etre identifié sur le réseau MTN CAMEROUN
Avoir au minimun 50Frs dans son compte (Ils seront débité au cours des premiers moments de surf mais vous pourrez continuer a surfer gratuit après l’épuisement de votre compte)
Etre inscrit sur une option tarifaire (Quelque celle que vous choisissez ce tutoriel sera fonctionnel)
***PROCEDURE A SUIVRE***
Vous allez commencer par paramétrer votre téléphone avec les paramètres suivants :
*Nom du compte : Le Potter *Nom d’utilisateur : mtnuser *Mots de passe : mtnuser *APN ou point d'acces: mtnwap *page d'accueil: wap.mtn.cm *Proxy IP: 196.202.236.195 *Port : 8080
Taper enfin cette série de code (elle va vous permettre d’accéder à la facturation haut débit proposé par MTN Cameroun).

NB: Lors de la saisis de ces codes, ne vous inquiétez pas si on vous dit que "votre credit est insuffisant". 
LES GARS CONTINUEZ SEULEMENT... 

...Tapez *701*0# ensuite valider sur 1
...Tapez *147*0# ensuite validez sur 1
...Tapez *701*3#
...Tapez *147*9# et attendez un petit moment (30 sec)
...Tapez *147*4# et attendez un petit moment (30 sec)
...Tapez *147*9# et attendez pour la dernière fois un petit moment (30 sec)


c'est fait. bon surf! 

Merci LE POTTER. ;-)

vendredi 29 novembre 2013

Hey!

Je suis là! En prélude de la sortie de ma première mixtape, intitulée Electro-T-Ehtnique. Vous y retrouverez, de la musique essentiellement éléctronique fusionnée à des percussions typiquement Africaines, ceci pour la plupart des titres. Motivée par la vision d'une unité culturelle, cette oeuvre ce veut internationale et preuve de l'unicité de l'art. Alors faites tourner et faites part de vos critiques "CONS-TRUC-TIVES". Merci et à bientôt pour les features liées à ce projet.
Téléchargez en exclu, ce premier titre, extrait de la compileici 
B free

samedi 23 novembre 2013

Il faut que je vous le dise...


Oui je sais beaucoup diront, « c’est déjà passé noh ? », je vous l’accorde, c’est vrai, c’est déjà passé, mais, cela n’appartient pas au passé.
Par où commencer ? Le début, pour en dire long ? Ou la fin, pour faire court? Début ou « fin » voici l’histoire.


De passage dans la ville de Douala, car invitée sur la scène du Douala Hip Hop Festival (2012, Bonapriso), ma sœur et artiste-rappeuse  Bercy B Tha Black, m’entraîna avec elle à cet évent’. Arrivé, l’ouverture prévue à 15h, avez 3h de retard, quelques « artistes » cherchaient « l’inspiration » dans des bouffées de nuages que vous connaissez bien, le publique timide de Douala, boudait le RDV, comme cette nga qui « veut » mais qui se fait prier ; donc, l’habituel scénario de nos scènes Hip Hop quoi. Pour tuer le temps je laissai Bercy, aux soins d’une interview et de quelques groupies (on dit ça aussi pour les gars noh ?) pour faire une petite ronde histoire de me dégourdir les jambes. Je ne suis pas allé très loin, car à mon arrivé déjà, une chose d’une incroyable inspiration, d’une non dédaignable beauté, avait attiré mon attention. Créativité dans son essence même. J’ai été captivé, subjugué par l’œuvre d’un génie de sa chose : une fresque murale de Samuel ETO’O, dans des dimensions, mais alors, GIGANTESQUE ! Et en bas la signature de l’auteur « Meric ».

Je ne pourrais point parler de lui, car ne le connaissant point, et parce que des articles de pro’  l’ont déjà fait, je pense notamment à KURBAIN. Néanmoins, notons juste que c’était et reste le maitre d’œuvres, de bien de fresques et tags de notre paysage urbain (Tout ce qui est « dessin » et tag à Douala Bercy, Au CASINO d’Akwa, pas le supermarché bien sûr, et bien d’autres encore). Non, vraiment je ne pourrais pas parler de lui, car tout comme la plupart d’entre vous, je ne le connaissais pas. Par contre, je voudrais revenir sur les événements du 02 novembre dernier. Car à travers eux, vous et moi pourrions nous faire une idée de la personne de Meric.


Ce jour là, il y avait tous les « Grands Frères » et« Grandes Sœurs » de la scène culturelle urbaine, Tonton Boudor, Tony Nobody, Le Général Valséro, Les Clés Son Of GOD, Achille Djoumsie, Lady B, Aimé Moukoko …

Ce jour là il y avait de l’émotion à profusion, tout le Douala Bercy en était chargé, il y avait de la tristesse mélangé à de la fierté, de la reconnaissnace, de la fraternité, ce jour il y avait, l’unité, pas celle qui se limite à des paroles, non elle était présente, comme personnifiée en chacune des personnes présentes. Ce jour là il y avait quelque chose d’extraordinaire, je ne parle de ce publique qui avait franchement répondu à l’appel,
 de ces sessions de fast painting, où l’on assistait en live à l’explosion de l’inspiration


à ces séquences d’une rareté et d’une magnificence inouï, je ne parle de ce painting de folie sur le T shirt de Snack-Eyes, pendant que celui-ci, à sa façon bien « affectueuse » de nous ouvrir les yeux sur nos conneries, s’exprimait à la foule


, Des prestations scéniques de Mink’s et de Izmo Le Rapologue, qui se livraient à l’audimat avec toute la sincérité enfouit dans leurs êtres, que l’on pouvait voir sur leur visage et décoder dans leur texte,
 Je ne parle pas, du Général et de toute l’assistance, à 1h du mat’, qui faisaient un big up à la fille de celui-ci, la dizaine d’années et certainement moins, présente dans la salle comme à chacun de ses shows. Je ne parle pas non plus, du bouquet final, LA, « surprise du chef », Francko à genoux aux pieds de Tonton Boudor, lui demandant pardon pour ses écarts lyriques. Non, non, non. Je ne parle pas de ces événements là, car chacun d’eux n’est qu’une partie du puzzle, chacun d’eux ont contribué à donner à cette soirée là, toute la magie qui y’avait et que je sais, ceux qui était présent ont ressentis.
Ce jour là, il y avait du beau monde, de l’émotion, de l’extraordinaire, c’est vrai il y avait aussi « une » chose, juste « une » chose désagréable, portant l’étiquette du MINCULT. On n’a pas apprécié, mais on a digéré sans trop de peine, son discours nauséabond.
Il y avait ça et bien plus encore.
A présent, s’il fallait dire qui était Meric, s’il fallait parler de lui, je vous dirais que c’était « ça » Meric, un être capable de réunir, de rassembler, d’émouvoir, bien plus qu’une centaine de personnes, une époque.
Cet homme, ce monument, a marqué et laissé ses traces dans ce monde, tout ceux qui viendront après lui, ont du boulot, parce que pour lui arriver à la cheville, ils vont galérer. 

Par rapport à tout ce qui a tourné autour de cet évenement, il y a beaucoup à dire, mais je me limiterais juste à celui de la communication. Toutes Nations a une culture, dans le cas du Cameroun (le « Someilistan ») bien que gravement et tragiquement importée, mérite de l’attention, je m’adresse ici aux potentiels entités médiatiques publiques et privées qui liraient ceci, ainsi qu’à toi. Pourquoi lorsque (Attention ! je n’ai rien contre ceux-ci) les Soprano, Les La Fouine, Les Mokobé et autres artistes étrangers  sont sur nos terres, on leurs déroule le tapis rouge, on parle d’eux, pire, les montre sur la chaine national au 20h aux côtés de, « Tata Moumou » et que nos Krotal, Obscur et autres artisans locaux, sont délaissés,  ignorés, marginalisés ? Pourquoi ? Dites moi POURQOUOI ? Quoi ? « nul n’est prophète chez … » l’excuse est trop facile, arrêtez de nous bassiner avec le même dicton. Ne sommes-nous pas Camerounais ? Et à ce que je sache, le propre de tout Camerounais, c’est justement de rendre toute chose possible. Sachez ceci, les règles sont faites pour être outrepassées, cessez de vivre cachés derrières les volontés et les désires des autres et apprenez à penser à vous, à penser pour vous. Soyez libres, de grâce, soyez libre.

Voilà, j’ai encore vomis « ça », un peu de cette douleur qui me ronge.
Cette nation est jeune, les esprits s’éveillent, j’ai foi et ai la conviction, que de ces choses, mémorables, bonnes ou mauvaises, feront du Cameroun de demain, quelque chose de tout simplement extraordinaire, juste, continuez le combat, aussi petit fût le pas que vous feriez, ne soyez pas découragés,  faites le juste, car bon nombre de soldats ont jeté l’éponge, car ils se convaincus qu’ils n’y parviendront jamais. À tord. On est ce que l’on pense, pensez échec et vous serez un échec, pensez miracle et vous serez un miracle.

Tu  fus un et reste un des soldats les plus valeureux, tu es de ceux qui écrivent l’histoire. Dans nos cœurs, dans le mien en tout cas, est érigé un monument en ta mémoire.
R.I.P.  Meric.



P.S : Rmrq : chez les danseurs c’était Eclésias, chez les Tageurs ce fût Merric, chez les rappeurs ça va être qui ? Moi je vote pour… Naaan. Je déconne, non sérieux, toi tu votes pour qui ?


jeudi 19 septembre 2013

paramètres internet pour Septembre 2013

: - NOM D’UTILISATEUR: internet
 
- MOT DE PASSE: internet

- APN ou POINT D’ACCÈS: orangecmgprs

Proxy : IP : 199.180.253.185

ou

184.171.167.202 -

Port : 80

Page d’accueil : m.facebook.com

jeudi 20 juin 2013

Aimez-vous vraiment vivre dans ce pays ?



Aimez-vous vraiment vivre dans ce pays ?
Sérieusement. Appréciez-vous les conditions de vie dans ce pays ?
Où la liberté de la presse est illusion. Ce pays où ceux qui ont des projets qui contribueraient réellement au développement du pays n’ont pas les moyens de les concrétiser, mais que ceux qui ont les moyens n’ont des projets n’ayant pour seule but qu’à gonfler leur portefeuille. Ce pays où tout ce qui est lié à ce qu’il y a de plus mauvais, comme la corruption, les détournements, les pratiques occultes, le laxisme des dirigeants, à tendance peu à peu de prendre des allures banales. Et où, le « rêve » n’a vit que dans notre esprit.
J’admets qu’il n y a rien de parfait en ce monde, mais tout de même, admettez vous aussi qu’il  y a quelque chose qui ne va pas, qui ne va plus chez nous.
Vous ne vous en rendez pas compte, « ils » n’essayent pas de nous asservir, mais, « ils » nous ont asservis. « Ils » ce sont ces personnes, ces instruments de notre martyre, que, paraît-il, avons « DEMOniaTIQUEMENT » élus.
Ils sont parvenu à nous faire admettre que si nous voulons réussir quoique ce soit, il nous faut « tremper la main » ou encore « mettre les mains sur la table ». Qu’il nous faut être du côté obscure pour vivre dans la lumière.
Et cette, servitude passe par de petite chose. Prenons le cas de la ville de Douala. Nombreux d’entre vous, sinon tous, conviendront que le pain que le boutiquier du coin nous vend, est des plus détestable, médiocre et pas consistant. Vous reconnaissez cela, mais cela n’empêche que le lendemain vous retournez ce chez même boutiquier, reprendre de ce pain médiocre et pas consistant. Pourquoi ? Mais dites-le moi, pourquoi ? Vous savez, mais refusez de voir que vous détestez cela. Que vous allez prendre, reprendre de cette… « Chose », que vous n’appréciez pas. Pourquoi ? Et bien parce que l’on vous a asservi. « Ils » vous ont asservis. L’exemple de ce pain, n’étant qu’un exemple parmi tant d’autre.
Je te vois toi, oui toi qui dit, « nous ont n’a la paix ». De quelle paix tu parles ? La tienne sans nul doute.
Donc parce qu’on ne descend pas dans la rue, pour crier « RÉVOLUTION », qu’on ne casse pas, qu’on ne brûle point de voitures, tu penses que l’on a la paix ? Qui est censé la faire cette révolution ? La jeunesse n’est ce pas ? Et bien si elle ne fait rien, c’est parce qu’elle est trop fatiguée pour penser ou pour réagir ce matin, étant donné qu’elle a picolée toute la nuit dernière. Parce qu’elle est asservie.
Peu de gens commence à comprendre et en parle. De ce malaise. Vous les rencontrerez sur des plateaux TV et radio, parler avec un français simple et élaboré, un peu comme moi, des carences et défaillances qui minent, tantôt le sport, tantôt la culture, la santé et j’en passe. Ils parlent bien, ils parlent juste. Mais je veux juste leur dire « ARRÊTEZ ! AGISSONS »
Les problèmes étant décelés, les solutions sont à élaborer pour application.
Il est tant, pour faire ce que j’appelle « LA RÉVOLUTION PROPRE ».
Oui « RÉVOLUTION PROPRE » car il faut bien comprendre une chose, je ne veux inciter personne à descendre dans la rue pour casser ou brûler, afin de démontrer son ras-le-bol.  Non, loin de là. Je suis contre cette révolution. Qui n’en est pas ou plus. Car les pays comme l'Égypte ou la Libye, nous ont bien faire comprendre que cela n’était que source de division et de mutilation. Un prétexte malsain pour faire couler du sang. Non je ne soutiens aucunement ce type de révolution.
Reprenons le cas de notre boutiquier au pain médiocre. Vous payez pour ce pain, une somme non négligeable (le pain coûterait même 25 f, il n’en demeure pas moins que cette somme est non négligeable, car étant le fruit d’un dur labeur, est-ce que toi tu en fabriques ?) par conséquent, attendez en retour d’en avoir pour votre argent. Le jour où sortira de vos entrailles, la manifestation de votre mécontentement, se traduisant par un tonitruant « J’EN AI MARRE ! », que feriez-vous ?
A-    Vous allez chez le concessionnaire louer un bulldozer, pour terrasser le fonds de commerce de votre boutiquier et par la même occasion, en profitez pour faire de même avec son boulanger.
B-    Vous vous levez tout de même, repartez chez ce boutiquier, pour reprendre de ce pain médiocre, de cet horrible pain.
C-    Vous prenez l’ultime solution qui s’impose.

Vous avez pris l’option A ?
Bravo ! Vous êtes de ceux qui comprennent. Malheureusement, pas assez pour mesurer les conséquences que cela impliquent. Vous choisissez cette option ayant pour conséquence, de supprimer des vies, de vous priver de pain et de toutes libertés. Ceci est la révolution, comme on la connaît et qui s’est manifestée et qui se manifeste dans le monde.
Vous avez pris l’option B ?
            Vous êtes sans nul doute, tout ce que vous détestez. Le reflet de votre ennemi. Vous êtes votre ennemi. « Vous êtes ce que vous mangez » vous êtes du « pain médiocre ». Vous êtes la société actuelle, convaincue qu’elle ne peut faire autrement. Ici point de révolution, vous êtes le légume qu’ « ils » veulent que vous soyez.
 Vous avez pris l’option C ?
            L’ultime décision, la seule, l’évidence même. Et bien, vous n’achetez pas de ce pain. Vous n’en consommez plus. Poussant ainsi le boutiquier à vous demander pourquoi, vous ne prenez plus de ce pain, vous lui faite toute simplement comprendre, de votre bouche et de vos mots, que ce pain est mauvais et que la seule condition pour en prendre de nouveau, est qu’il l’adapte à vos exigences, ou du moins essaye, au vu de ce que vous payez pour. Voilà en quoi consiste la « RÉVOLUTION PROPRE ».

Oui. Il est plus que tant de choisir l’option C. Car comprenez bien, que l’on ne le fait pas pour nous. Mais pour nos petits frères, pour nos petites sœurs, pour nos enfants. Que veux-tu léguer comme héritage à ta progéniture? Le chaos ? (option A)  rien du tout ? (option B) ou alors, quelque chose de bien, comme tu l’as toujours manifesté par ces petites attentions que tu lui réserves des fois, par des friandises et des jouets ? (option C)
Toi, toi qui veux avancer, toi qui ressens au fond de toi qu’il y a quelque chose de meilleur pour toi ailleurs, je te dis, cet ailleurs, il n’est pas à 300 mètres, il n’est pas à 2000 km, il n’est point sur un autre continent, sur une autre planète ou dans une autre vie. Cet ailleurs, il est en toi. Seul revient à toi de pouvoir y parvenir. Mais pour pouvoir il faut le vouloir. Et ce vouloir, n’est pas une vaine promesse intérieure. Ce vouloir n’est pas le fait de penser pouvoir. Ce vouloir, c’est dire « NON » quand l’on vous donne de ce pain médiocre. Ce vouloir, c’est admettre que vous méritez et pouvez avoir mieux. Vouloir, c’est manifester le pouvoir.
Ce qui nous pénalise, pour la concrétisation de tout ce que nous avons de bon pour notre pays ce résume en l’absence de ceci : Unité, Éducation, Information, Communication. Ces 4 notions, ces « 4 fantastiques », sont les notions, les « héros » dont on a besoin pour obtenir quelque chose de mieux, quelque chose de bien. Notions sur lesquels nous viendront à s’appesantir.
Voilà, j’ai dit ma part. J’ai vomis, en parti, ce qui est l’origine de mes insomnies et de mon amertume et qui je le sais, sans aucun doute est partagé. Je t’invite toi, toi qui t’es retrouvé dans mes propos, ou non, toi qui as quelque chose à dire, à partager ce message, à interagir. Car nous avons besoin que tu nous édifies de ce que tu sais, que tu apportes ton schéma, car entendons nous, balancer quelques paroles savantes et vraies, ne constitue pas tout à fait ou sinon pas du tout, une réalisation concrète, contribuant au développement.
Au vu de ceci, de tout ceci, demain quand tu te lèveras que feras tu ? Quelles options choisiras-tu ? La A ? La B ? Ou la C ?
Le savoir est une arme, vous avez le choix. Be free



P.S. : Avis à ceux qui parviendront à déceler dans mon écriture, des fautes d’orthographe, de grammaire et j’en passe. Comprenez bien que ce n’est point mon dialecte, déjà qu’il y a le patois du père, de la mère, issus tout les deux d’ethnies différentes, ensuite s’ajoute à cela celui du, que dis-je, des voisins, qu’il faut comprendre au minimum, il y a l’anglais, tout ceci fait que le quota du 7% de notre QI exploité est atteint. Et puis merde, même « la » Français n’a pas 20/20 en dictée. Lol